Dimanche 11 novembre 01, Samâdhi
AM Lettre à une Auroville
Ce monsieur bien-pensant
investi du trône d’un pouvoir acquis d’un hasardeux
hasard
Porte, vêtu de l’Ignorance incarnée en étroitesse
consommée,
Le regard dédaigneux des hauteurs sublimes de sa grandiose petitesse
Sur la demande sans voix d’une petite vérité en quête.
“Néo
cow-boy-scoutisme’’ d’un Véda nouveau-né
d’une aventure nouvelle de Conscience,
En espoirs fondateurs de murs de Cité rouge-or cramoisi,
Briques tour-Babel empilées,
Insoucieux de l’impertinence du liant-or subtil d’une petite
liberté, déjà si vite réprimée…
Il est des cieux
qui ne se peuvent pas être imaginés
A la hauteur de nos tours pygmées,
Et le monsieur bien-pensant investi du pouvoir de son trône …
(Refrain)
Une malicieuse petite
goutte de Joie pure de Vie
Franchit les seuils de l’Impossible,
Et, toute souriante de son impertinence
S’“élanguit’’ de l’or-chaud d’une
courbe d’aise.
Il n’ y aura
pas que de monsieur bien-pensant qui…
...
Et le vital parla
et se parla le langage du Vital,
Et le mental parla et se parla le langage du Mental,
Et la Vérité parla … … et ne fut pas entendue,
Il y a un germe de Mort en quelque part, … assurément.
...
Nous sommes cette
Souffrance qui se cherche le Chemin en travers de nos incertitudes et
joies de Rencontres.
|