À Satprem et autres en exil
Mon frère, mon ami,
tu es en exil,
Il est de ces exils d’une vie forcée, d’une douleur obligée,
Ce sont épreuves incontournables d’un Dieu à incarner
En les jours pérégrins d’une Terre si tant encore esseulée
;
Il est de Vérités
que les hommes ne se peuvent entendre ni percevoir,
Les méandres-spirale de leur oreille en ont entortillé le Sens,
Et il ne reste aux pas nomades de Différence
Que l’âpre-tendre Solitude-Asile de la Certitude incarnée.
Mon frère, mon ami,
tu es en exil,
Tu es l’Aimé de Sa Vérité.
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©Dhanushmat.
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