Jeudi 3 janvier 01, Samâdhi AM Les
tuer n’aurait pour effet que de nous affaiblir, les accepter suzeraines
nous faire vassaux et esclaves nous condamne à errer ; il est
là question de s’en détacher. Elles se savent pleines
dents de notre Ignorance et ont beau rôle de leur privilège
et connaissance des pas noirs de Néant. Il nous est de prendre
conscience que nous leur donnons et offrons asile et nourriture dont
elles se réclament à cor et à cri, il est très
certainement là geste guerre-croisade sacrée à
porter sur autel de Conscience, et gagner vision plus large comme butin
de guerre du Fait. (1 et 2) Les 3 corps terrestres de nos êtres : Mental, Vital, Physique. ...
Jeudi 3 janvier 01, Samâdhi PM Il est comme un
double, un double opposé, un double d’opposition qui s’attache
à nos pas, qui serait comme une négation du geste, une
anti-matière du geste. Il se présente comme antithèse
de la quête, une quête à rebours, vers le bas, vers
les forces abstruses de la terre, vers les forces qui se meuvent les
univers ou se veulent l’engloutir du néant. Nous le portons
comme une mémoire-résumé de notre trajectoire,
comme une plaque photographique négative du Fait. Il est le poids
à porter, à transformer, à transmuer. Il nous mène
en les points de la profondeur sur la gamme basse de l’être,
il est le principe même de notre geste, il le révèle,
le reflète, lui fait miroir. Il est l’aiguillon-paradoxe
qui nous pousse chaque fois plus loin sur le chemin, il est l’obstacle
et le propulseur. Il s’est pris corps de forme d’expression,
a établi le rituel et l’offrande justificative de ses désirs,
il se dévoile exigeant et peu soucieux des règles de la
morale et vertu, il impose sa loi de fer, l’intransigeance de
sa tyrannie. Il nous tire vers ses mondes de l’inertie et de l’Ignorance,
il nous révèle en le grand teint miroir de ses yeux noirs
l’infini de notre être. Il n’a de cesse de nous harceler
de son existence, de sa présence, il est celui que l’on
ne peut oublier, il est celui qui nous guide de sa voie négative.
Notre âme s’est choisi ombre-siamoise de son désir
de Dieu, l’être la langue douloureuse de l’extrême
pour se révéler l’inconcevable de sa réalité. |
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