lumière de l’aurore, traversons, laissons
nos pas nous guider vers ce devenir et nous faire faire rencontre en
ce lieu du Possible.
Voilà mon frère où me pressent mes pas, je pressens
de même les tiens en marche et soucieux de véritable fraternité.
La Cité est déjà de ce fait le germe d’un
plus que un, cela m’est doux rayon de soleil nouveau qui me presse
encore plus du souci de donner forme et consistance à cette Conscience
de Vie.
Nous nous retrouverons puisque nous nous sommes reconnus ! »
Nous allons, nous allons, mon ami,
Une petite joie “empreint’’ nos pas,
Nous allons, nous allons, mon ami,
En les jardins-soleils de nos âmes-sœurs.
Se donner, mon ami, se donner…
Qu’elle se puisse vivre, mon ami, qu’elle se puisse vivre…
sa Vérité.
Sans réserve, mon ami, sans réserve,
Qu’elle se puisse se goûter, mon ami, qu’elle se puisse
se goûter… et s’aimer.